Première publication : 20 avril 2012.
Par Maryam
L’Artsakh, ex-Nagorno-Karabakh, ex pseudo-« territoire autonome » de l’Azerbaïdjan ex-soviétique de l’ex-URSS, est un territoire arménien perdu à jamais pour l’Azerbaïdjan post-nettoyage ethnique. Le groupe de Minsk, chargé depuis 1994 du règlement du conflit opposant l’Arménie orientale et l’Azerbaïdjan, entre deux ripailles moscovites, s’est posé la question suivante : A quelle vitesse règle-t-on un conflit opposant deux États, portant sur une parcelle de territoire vitale pour l’un, inutile pour l’autre ? La réponse se trouve dans l’indice GDM. Cet indice a été mis au point par les foreurs d’une plateforme pétrolière de la mer Caspienne pendant une pause casse-croûte bien arrosée. L’indice GDM permet en effet de déterminer la vitesse à laquelle le conflit de l’Artsakh devrait normalement trouver un règlement. On doit se placer dans l’univers tuyauterie culturelle et résoudre l’équation suivante :

En se basant sur cette équation, la valeur actuelle de l’indice GDM est l’an 2501 pour un règlement définitif et global du conflit. Car d’ici là, le seul paramètre susceptible de ne pas diminuer est la vitesse de la tortue.