Première publication : 24 juillet 2014.
Le déferlement de haine arménophobe souterraine du régime politique de l’Azerbaïdjan semble avoir transmis l’agent pathogène de la pestis azerbaijanis à un média censé défendre la liberté des médias : Radio Free Europe/ Radio Liberty.
Le 22 juillet, alors que paraissait chez RFE/RL un article basé sur un reportage de Regnum.ru et Interfax, intitulé « Armenian Mayor Injured By Explosion in Nagorno-Karabakh », qui imputait aux Arméniens la responsabilité de la guerre du Karabakh, et les accusait d’avoir « violemment annexé » le territoire, un nouveau cas de pestis azerbaijanis a été découvert chez un journaliste de Radio Free Europe/Radio Liberty, dont on ignore la nationalité mais qui semblait réunir tous les symptômes de cette pandémie de peste bubonique.
Celui-ci s’est mis à crier que le Karabakh (Artsakh) avait été « violemment arraché » à l’Azerbaïdjan par les habitants du Karabakh.
Que voilà une belle définition de l’auto-défense et de l’auto-détermination!
Après analyse du laboratoire, l’individu présentait effectivement dans son sang une grande quantité de bactéries tataria pestis. Le professeur Kagoshima a confirmé qu’il s’agissait d’une forme « très virulente » de la maladie, qui semble avoir « radio-muté » lors de son passage dans le média Radio Free Europe, créant une nouvelle forme de bactérie virale, la « tataria pestis RFE/RL », qui a contaminé, à l’heure actuelle, un journaliste.
Rappelons qu’avant la contamination, Radio Free Europe/Radio Liberty se félicitait, en langue anglaise, d’être « a unique source of information about many of the world’s political hotspots » (traduisez : « une source unique d’information sur de nombreuses zones d’agitation politique et de violence potentielle du monde »).
Radio Free Europe est devenu quant à lui une zone d’agitation virale.