Media Siktirici : « Oyez ! Oyez ! Des descendants de réfugiés arméniens sont prospères… »

prospérité

Avertissement aux lecteurs : Media Siktirici est le symbole d’une certaine presse (sites de media, blogs, journaux, télévisions, web tv, radios, publiques comme privées) qui distille une désinformation anti-arménienne.

Par l’équipe de Media Siktirici

Media Siktirici, journal d’investigation financé par le Grand Turc, remercie ses fidèles soutiens en livrant une première information : la communauté arménienne, bien connue pour être issue d’un génocide, et qui s’est formée dès l’arrivée de réfugiés arméniens en France dans les années 1920, connaît la prospérité !

Les détracteurs de notre média affirment quant à eux que les réfugiés, avec la rage du désespoir, auraient fourni d’immenses efforts – certains y auraient laissé leur peau dans les usines et les mines – foutaises ! Ils n’ont pas tout perdu durant ce soi-disant génocide.

Maintenant, qu’allons-nous devenir, nous humbles journalistes de Media Siktirici, face à ces descendants de réfugiés sortis de l’abîme pour atteindre le Saint Graal de l’intégration et de la prospérité ? S’ils avaient vraiment voulu nous faire plaisir, ils auraient dû, au contraire, s’appauvrir ou conserver le même niveau de pauvreté depuis les années 1920.

« Cette prospérité après un siècle fait froid dans le dos » s’inquiète le chercheur au CNRS et homme de gauche, Alfred Pointillarre.

L'équipe de Media Siktirici
L’équipe de Media Siktirici

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Ceux qui sont attachés à l’indécence et à la médiocrité de Media Siktirici savent qu’il est devenu difficile (pour ne pas dire clairement impossible…) de vivre de son métier… Des phénomènes échappant à notre bonne volonté ont provoqué la chute de la lire turque, monnaie qui nous parvenait régulièrement des quatre coins de la banlieue lyonnaise, de la banlieue strasbourgeoise, et d’autres foyers idéalistes de la France. Adieu le séjour à Stamboul et la pension complète avec vue sur l’Institut du Bosphore. Elle n’est pourtant pas si lointaine cette époque rêvée où les sultans savaient s’offrir les grâces d’une presse française acquise à la cause des grands malades de l’Orient.