Une entrepreneuse franco-arménienne réalise un bénéfice, l’équipe de Media Siktirici lance une enquête

bénéfice

Avertissement aux lecteurs : Media Siktirici est le symbole d’une certaine presse (sites de media, blogs, journaux, télévisions, web tv, radios, publiques comme privées) qui distille une désinformation anti-arménienne.

Par l’équipe de Media Siktirici

Madame M., d’origine arménienne (nous sommes à peu près sûrs de notre fait…), avait tout d’une citoyenne modèle, mais elle a, comme disait le poète, « franchi les limites de la décence républicaine », en constituant une société au registre du commerce, laquelle, au terme d’une activité commerciale florissante, a réalisé un bénéfice qui a permis à la gérante de faire prospérer sa famille pour toute une génération.

Cette Madame M., d’origine arménienne, aurait été aperçue, pour la première fois, dans une clinique (à la naissance), puis repérée quelques années plus tard, dans des écoles, des manifestations publiques, des formations, des évènements culturels, et la liste n’est malheureusement pas exhaustive…

Ne pouvait-elle pas, comme tout le monde, faire profil bas et laisser passer le carrosse de sa majesté ?

Nous avions pourtant expliqué aux Arméniens le mode d’emploi français pour les descendants de survivants du génocide. Ce n’était pas compliqué de rester invisibles et modestes.

Alors ce bénéfice, Madame M., vous allez me le détruire, sinon le rendre à Media Siktirici et aux français de souche et aux français du monde : rendez à César ce qui appartient à César !

L'équipe de Media Siktirici
L’équipe de Media Siktirici

Güzel efendiler, soutenez la liberté de la presse !

Ceux qui sont attachés à l’indécence et à la médiocrité de Media Siktirici savent qu’il est devenu difficile (pour ne pas dire clairement impossible…) de vivre de son métier… Des phénomènes échappant à notre bonne volonté ont provoqué la chute de la lire turque, monnaie qui nous parvenait régulièrement des quatre coins de la banlieue lyonnaise, de la banlieue strasbourgeoise, et d’autres foyers idéalistes de la France. Adieu le séjour à Stamboul et la pension complète avec vue sur l’Institut du Bosphore. Elle n’est pourtant pas si lointaine cette époque rêvée où les sultans savaient s’offrir les grâces d’une presse française acquise à la cause des grands malades de l’Orient.