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Par l’équipe de Media Siktirici
L’équipe de Media Siktirici reproduit ici un article de nos confrères de L’Émancipation, au sujet de la très inquiétante présence arménienne au sein des partis politiques français.
Un journaliste d’investigation, grand chercheur de fonds, injustement tombé dans l’oubli, m’a dit un jour : donne-moi une communauté issue d’un génocide, et je te trouverai un milliard de fautes à leur imputer, de poux à leur chercher, tout en délestant le pays génocideur de toute sa responsabilité.
Le grand Monsieur dont je vous parle était le principal actionnaire de L’Émancipation, il connaissait bien le BTP turc, avait publié de nombreux papiers sur ces descendants de survivants arméniens qui l’empêchaient d’être bien avec les Turcs négationnistes.
Les Arméniens, non contents d’avoir survécu à un génocide, non contents d’avoir prospéré en France, au prix de leurs seuls efforts (mais quand même, ils auraient pu s’en abstenir), se permettent maintenant de rentrer dans les partis politiques français, chasse gardée des Français de souche et des Français du monde. Mais combien de temps allons-nous encore les laisser s’intégrer ? Certains ont même le toupet de nous faire de l’ombre. Non mais vous rendez-vous compte ? Et au pays des droits de l’homme et du BTP !
Que vont devenir le MEDEF et les investissements en Turquie et en Azerbaïdjan, si les politiques Arméniens gauchistes d’extrême-droite réactionnaire wokiste évoquent les réparations pour le génocide, le soutien à l’Arménie et au Karabakh (Artsakh) ?
Heureusement que le très neutre L’Émancipation et le très exemplaire Media Siktirici, amateurs de vols planés vers la Turquie, font le sale boulot de la diplomatie turco-azérie à Paris. Evet ! C’est bon pour les intérêts franco-turcs ces diffamateurs françöz devenus du jour au lendemain grands spécialistes de la communauté arménienne.

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Ceux qui sont attachés à l’indécence et à la médiocrité de Media Siktirici savent qu’il est devenu difficile (pour ne pas dire clairement impossible…) de vivre de son métier… Des phénomènes échappant à notre bonne volonté ont provoqué la chute de la lire turque, monnaie qui nous parvenait régulièrement des quatre coins de la banlieue lyonnaise, de la banlieue strasbourgeoise, et d’autres foyers idéalistes de la France. Adieu le séjour à Stamboul et la pension complète avec vue sur l’Institut du Bosphore. Elle n’est pourtant pas si lointaine cette époque rêvée où les sultans savaient s’offrir les grâces d’une presse française acquise à la cause des grands malades de l’Orient.