Première publication : 12 avril 2016.
« Que faites-vous pour réduire la tension au Karabakh? » hurlent les médias allemands, au bord de l’hystérie.
L’Allemagne, quel que soit son chancelier ou sa chancelière, n’est pas autorisée à parler dans les circonstances présentes. Spécialiste des génocides au XXe siècle, le liquidateur de l’Europe et le proxénète centenaire de la Turquie ne peut avoir l’ambition de faire la morale aux Arméniens, à Erevan ou à Stepanakert.
Quant aux journalistes ou experts d’Allemagne courtisant la Turquie, ils sont comme les concubines des harems ottomans, et ne peuvent donc faire autre chose que satisfaire les désirs et caprices d’un pacha.
La tension, ou plutôt la surtension azérie sur la ligne de front, est une question sensible à laquelle l’Europe ne devrait pas être mêlée.
En revanche, il y a au moins une réponse équilibrée à ce problème de surtension:
L’envoi d’un Schinkennudeln dans leurs gueules de Dampfnudel d’impérialistes.