La Pomponnette Tashnagtsoutioun, parti historique « boule puante » de la nation arménienne, ancienne meilleure copine des Jeunes-Turcs avant le génocide, a aussi été la « fidèle partenaire » du second président arménien Robert Kornlayan de 1998 à 2008. Les deux amis ont fait disparaître l\’argent de la diaspora arménienne et des citoyens d\’Arménie, sous l\’influence tutélaire du grand faux frère russe.
Hélas ! Toutes les bonnes choses ayant une fin, la Pomponnette fut « bannie » en 2008 des réseaux de corruption par de plus puissants et corrompus qu\’elle. Courroucée de ne plus toucher au grisbi, furieuse de ne plus avoir sa part du gâteau étatique, même si le ministère soviétique de la diaspora lui permit occasionnellement de toucher le pactole, la Pomponnette devint une « opposante » jusqu\’à la révolution de velours de 2018.
L\’arrivée de Nikolevon à la tête de l\’Etat donna des démangeaisons à Kornalyan et à sa clique russo-arménienne.
Du matin au soir, la Pomponnette assaillait Robert Kornalyan de questions : Quand allez-vous revenir ? Tash ! Tash ! Pom ! Pom !
Le grand ponte mafieux voulait faire son retour au sommet de l’État. Il lui fallait sa Pomponnette pour faire « flop » une seconde fois. Tant pis pour les Républiques d\’Arménie et du Karabakh. Le Tashnagtsoutioun et Kornalyan, c\’est tellement plus important que l\’avenir des États arméniens…