Arménie – Karabakh : Réponse du président américain Jonald Byeden

United States of America

Réponse du président américain Jonald Byeden, suite aux critiques dont il a été la cible en raison de ses liens avec les néo-fascistes de Turquie et d’Azerbaïdjan

Comment peut-on m’accuser d’être indifférent au sort des Arméniens dans le Caucase ? J’ai reconnu le génocide des Arméniens commis par la Turquie ! Sous prétexte que j’ai des liens avec Ankara et Bakou, il y a tout le temps des gens qui ne cessent de mettre en doute des choses établies que je considérais comme acquises : ma profonde sympathie pour les Arméniens.

Cette histoire d’insensibilité, de sécheresse et de froideur à l’endroit des Arméniens, en raison de mes liens supposés avec les Turcs et les Azéris, est aberrante ! Vous savez pourquoi l’Azerbaïdjan est ma destination favorite ? Ce n’est pas parce que je peux, en pleine rue, sous les yeux des badauds, libérer la bête qui est en moi, et me faire applaudir par quatre pelés et un tondu. Par Washington ! Si ce n’était que cela, je me contenterais des meetings de mon parti.

Non, la différence de taille, entre Bakou et Washington, c’est le remboursement de la chirurgie esthétique. La moumoute, le dentier et le lifting m’ont été offerts par la première dame de Bakou.

Lors des dernières assises de l’arménophobie, qui se déroulaient à Bakou, la première dame d’Azerbaïdjan, épouse du président Racaliev, m’a envoyé tous frais payés, voyez-vous, en esthétique d’urgence. A ma sortie de la chirurgie, j’ai passé un coup de fil aux membres de l’United States Congress qui m’ont dit qu’ils voulaient la même chose pour eux. Allez hop ! Tous mes amis se sont fait refaire le physique, de la tête aux pieds ; les uns se sont fait raccourcir les bras, d’autres se sont fait allonger les jambes. Cela m’a évidemment rappelé mes bons souvenirs de table des cercles d’amitié USA-Azerbaïdjan, où ceux qui avaient le bras long passaient des enveloppes à ceux qui étaient courts sur pattes !

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