Première publication : 21 avril 2016.
Ce court documentaire suit les péripéties du photojournaliste Bazar en Azerbaïdjan, près de la frontière avec le Karabakh (Artsakh).
Loin de ses habituels ateliers photo ou de ses « expo » municipales, Bazar Flagellati s’est aventuré au Karabakh, durant la seconde guerre d’avril 2016 provoquée par l’Azerbaïdjan.
« Avec un regard tellemeneu, je dirai forte et innocent, por éduquer le jeuneu, je trouvé la force de cet util photo est feurmidable. »
Bazar, qui a longtemps défendu l’Azerbaïdjan, et nié le droit à l’autodétermination et à l’autodéfense des Arméniens, a-t-il apprécié cette expérience photo?
« C’était un très bonne moment, mais j’ai pas vu mes photos dans les porhtefeuilles de soldats. Je croyais pourtant populairh. » Les clichés du photojournaliste sont en effet publiés dans le prestigieux National Geo-Clochedouille.
« Être le photojornaliste, ce n’est pas seulement faire le photo, c’est leur faire dire n’importe quoi sur les murs. Car le mur est longue depi que je raconte les histoires pour des changements seuciâles dans le monde. »
« O force de laisser quelque part le vérité », le révisionnisme photographique de l’Azerbaïdjan passe-t-il par Bazar Flagellati?
Les pays que Bazar visite « depuis vingtaine d’années » sont des pays à risque et souvent, deviennent très instables après l’intervention de puissances étrangères.
« C’est ça que vous commencez à réfléchir, dit Bazar après l’explosion d’une mine à quelques mètres des caméras. Quand vous mette jamais lé pied au bon endroit ».